Le télétravail se définit comme l’exercice volontaire d’un travail à distance au lieu de l’effectuer dans les locaux de l’employeur. C’est un contrat de confiance qui lie les deux parties. Ce contrat est défini dans les accords collectifs, ou établi dans une charte élaborée par l’employeur. Ce télétravail vas-t-il se normaliser après ?
Que ce soit pour l’employeur comme pour l’employé, les avantages du télétravail sont multiples. Aujourd’hui, 83% des télétravailleurs interrogés déclarent réaliser des économies de temps, mais surtout d’argent. On observe également chez ces travailleurs modernes une diminution significative de la fatigue, du stress, du burn-out, mais également une hausse nette de leur productivité et de leur épanouissement au travail.
Du côté des employeurs, on note une importante baisse des coûts de production. En effet, les coûts liés à l’exercice d’une mission reviennent à la charge des télétravailleurs (matériaux, logiciels, abonnement etc.)
Le recours au télétravail pendant la crise du Covid-19 n’est que la partie émergée de l’iceberg qui flotte actuellement sur le marché de l’emploi et même la culture du travail.
Le télétravail se confronte encore à l’évolution des mentalités. En particulier pour les télétravailleurs qui souhaiteraient travailler en dehors de leur domicile.
Toutefois, il est important de définir une démarcation claire entre la vie professionnelle et privée des travailleurs. D’où le besoins pour les régulateurs à travers le monde de développer des outils d’encadrement du télétravail pour éviter qu’il ne devienne une nouvelle forme d’exploitation des travailleurs. Normaliser le télétravail serai la bonne chose à faire après la reprise du business ?
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